Mise en scène : Eric De Staercke Avec Bruno Coppens Pierre Poucet
Compositions musicales : Eloi Baudimont Régie, éclairages et son : Benoît Lavalard Assistant à la mise en scène : Gael Soudron Costumes : Lili Deconinck Professeur de chant : Aïssatou Diop Construction décor : Marc Cocozza, Mathieu Regaert et Quentin Huwaert Peinture décor : Pauline Picry Une production de l’Atelier Théâtre Jean Vilar et de Exquis Mots sprl. Avec l’aide du Centre Culturel Régional Action Sud et de la maison de la culture de Tournai.
Dates : du 8 au 11 mars 2012 Lieu : Théâtre Jean Vilar Durée du spectacle : 1h30 Réservations : 0800/25 325 Contact écoles : Adrienne Gérard - 010/47.07.11 – adrienne.gerard@atjv.be
• N’oubliez pas de distribuer les tickets avant d’arriver au Théâtre • Soyez présents au moins 15 minutes avant le début de la représentation, le placement de tous les groupes ne peut se faire en 5 minutes ! N.B : - les places sont numérotées, nous insistons pour que chacun occupe la place dont le numéro figure sur le billet. - la salle est organisée avec un côté pair et impair (B5 n’est pas à côté de B6 mais de B7), tenez-en éventuellement compte lors de la distribution des billets. • En salle, nous demandons aux professeurs d’avoir l’amabilité de se disperser dans leur groupe de manière à encadrer leurs élèves et à assurer le bon déroulement de la représentation.
I. LE SPECTACLE Pour fêter ses 50 boogies, Bruno Coppens a concocté un spectacle rock’n'roll ! Alors entrez dans le délire verbal et la folie visuelle d'une mise en scène déjantée. Vous croiserez un logopède plus atteint que son patient, la fille de chez Tom-Tom GO aux prises avec son hidalgo, Roméo déclarant sa flamme à. Gillette ainsi qu'un barman qui fera office de coiffeur, pianiste, coach, relooker, bouc émissaire et complice. Le départ de ce spectacle? Quand une fille de 20 ans vous assassine d'une phrase: "Ma mère aime beaucoup ce que vous faites!". Lorsqu'en parlant avec vos propres enfants, vous sentez que vous vivez en plein décalage horreur. Lorsque vous ne maîtrisez même pas l'option dictionnaire de votre GSM. Y'a de quoi être vénér! Bruno EST vénér! Alors il va réagir! Il va tour à tour se faire relooker de haut en bas, tester pour vous l'épilation intégrale, rêver de finir ses jours en Suisse, réclamer une Wallonie libre et découvrir le secret de la jeunesse éternelle! Entre chanson à message chantalgoyesque et boogie rendant hommage aux bourrelets, entre une bossa langoureuse et une vraie chanson d'amour (musiques d'Eloi Baudimont), découvrez de nouvelles facettes de cet humoriste qui allie ironie et tendresse, dérision et franc-parler… Bruno, vous pensiez le connaître? Il va vous surprendre, c'est sûr! Mes singeries vocales? une touche d'absurde une cuillerée de vacheries une louche de mauvaise foi une pincée d'amour un soupçon de poésie et un zeste de gore. Le tout à consommer sans mot des rations!
II. BRUNO COPPENS, AUTEUR ET COMEDIEN Né à Tournai en 1960, Bruno Coppens se lance dans le monde du spectacle après des études en Langues et Littératures romanes à l’UCL, censées le mener à une carrière de professeur de français. Son amour pour la langue en a décidé autrement… Jongleur fou des mots, créateur de délires verbaux à couper le souffle, Bruno Coppens a réussi en une quinzaine d’années à tracer une voie unique dans le domaine de l’humour belge. Avec un enthousiasme communicatif, il déploie tout son talent sur scène, en radio et en télévision. Il est parvenu à conquérir un public de plus en plus large, au-delà de nos frontières et de l’océan Atlantique nord tout en maintenant une grande exigence au niveau des thèmes abordés et de son écriture. Son univers mêlant humour et poésie verbale le classe d’emblée dans la catégorie des grands. Au fil de ses spectacles, il est passé des scènes les plus intimistes aux plus imposantes comme celle du Palais des Beaux-Arts de Bruxelles, par exemple, en tant que narrateur pour l’Orchestre à la portée des enfants (10 collaborations à ce jour!) ou celle du Théâtre Royal de Namur dans le cadre prestigieux du Festival de Wallonie où il interprète des textes d’Eric- Emmanuel Schmitt (« Mozart Amor »). Son précédent spectacle, Ma Terre happy ! (produit par l’Atelier Théâtre Jean Vilar et le Festival de Théâtre de Spa en 2007) a été joué plus de deux cents fois. Bruno Coppens est par ailleurs parrain de l’opération “Langue française en fête” de la Communauté française pour laquelle il invente jeux de langue et exercices de créativité (citons Impro justitia procès-spectacle joué dans des Palais de justice en compagnie de comédiens et de vrais avocats!). Ajoutez à cela ses nombreuses chroniques hilarantes au « Jeu des Dictionnaires » et à la « Semaine infernale » (RTBF) où il déploie sa verve, sa sagacité, son sens de l’ironie et de l’analyse affûtée de la course du monde. Il a également été chroniqueur dans l’émission de Stéphane Bern « Le Fou du roi » sur France Inter et dans l’émission « 50° Nord » sur Arte Belgique. En télévision, il incarnait Mr Virgule dans l’une des meilleures émissions européennes pour la jeunesse « Ici-Bla-Bla ». Sans oublier ses collaborations avec divers journaux et revues qui prouvent la qualité de sa plume. Aujourd’hui, tous ses spectacles sont diffusés à la télévision, distribués en DVD et l’intégralité de ses textes sont publiés. Son talent a été moult fois récompensé dans divers festivals en France et en Belgique. En octobre 2005, il a été médaillé “Chevalier de l’ordre de Léopold” par la ministre de la culture Fadila Laanan. En février 2010 est paru « Le Fond de l’ère effraie », un recueil de billets d’humeur sur les plaies de notre époque. Après Bain Zen accueilli en 2005 et Ma Terre happy ! en 2007, Bruno Coppens vient pour la quatrième fois charmer les oreilles du public de l’Atelier Théâtre Jean Vilar. III. ERIC DE STAERCKE, METTEUR EN SCENE
Auteur, comédien, metteur en scène, Eric De Staercke est né à Ixelles en 1962. Après avoir suivi les cours de théâtre et de mise en scène à l’I.A.D., il fonde en 1985 avec d’autres comédiens la compagnie « Théâtre Loyal du Trac ». Il fait partie des premières recrues de la Ligue d’Improvisation Belge. Il y joute de 1985 à 1996 et reçoit « l’Etoile du monde » en 1993. La même année, il devient professeur d’improvisation et d’interprétation à l’I.A.D. Il enseigne également à l’Ecole supérieure des Arts du Cirque de Bruxelles jusque 2003. Acteur avant tout, on le retrouve au cinéma dans Palais Royal de Valérie Lemercier, Le 8e Jour de Jaco Van Dormael, et dans plusieurs courts métrages. Il s’illustre sur la plupart des scènes belges, jouant 500 fois Est-ce qu’on ne pourrait pas s’aimer un peu. Il était aussi sur la scène de Impro justitia de Bruno Coppens et en 2001, il incarnait Figaro dans Le Mariage de Figaro, mis en scène par Jean-Claude Berutti. Tout en poursuivant sa carrière de comédien, seul en scène ou au sein d’une troupe, Eric De Staercke a également assuré la mise en scène de nombreux spectacles, parmi lesquels Le Marchand de Fables va passer, L’Illusion chronique, Bain Zen, Impro Justitia, La Faute à qui ?, Théâtre sans animaux de Jean-Michel Ribes, Hidalgo, Les Gens bien n’osent plus sortir le soir de Grumberg,Noces de vent ou encore Le Propre de l’homme, de et avec Jacques Viala, que vous avez pu voir au Théâtre Jean Vilar en janvier 2011. Artiste polyvalent, Eric De Staercke passe aisément du théâtre au cinéma, de la radio à la télévision. Il fait partie des chroniqueurs de l’équipe du « Jeu des dictionnaires », il a participé à l’émission « Ici Bla-Bla », à la série belge « 7e Ciel » et à « Plan langue », douze épisodes écrits et interprétés en tandem avec Bruno Coppens. IV. ELOI BAUDIMONT ET PIERRE POUCET, LES COMPLICES
Né à Tournai en 1971, Eloi Baudimont s’oriente très vite vers la composition de musiques de scène. Dès l’âge de 16 ans, il collabore avec la compagnie de théâtre-action Croquemitaine. Depuis, il a composé des musiques pour différents univers : le théâtre, le théâtre de rue, la chanson française, la danse, le cirque, la télévision et les fanfares. Entre 1995 et 2008, il dirige La fanfare de Mourcourt et y développe un répertoire festif. La fanfare s’est produite en Belgique, en France et en Roumanie. Elle a joué à la Piste aux Espoirs, festival international de cirque à Tournai mais aussi avec les Comediants de Barcelone lors des festivités de Lille 2004 ; dans le spectacle Zarabanda de Franco Dragone en 2005 et lors du spectacle Mademoiselle, Madame pour le 175e anniversaire de la Belgique. Elle a été invitée au Théâtre des Doms lors du Festival d’Avignon 2006 et a représenté la Belgique en Roumanie lors des festivités de Sibiu, Capitale Européenne de la Culture en 2007. La fanfare a même participé au 70ème anniversaire du Roi Albert II au Palais Royal. En 2006, Eloi Baudimont reçoit le prix du Hainaut des Arts de la scène. En 2007, il crée le spectacle Mali mali avec le compteur malien Baba Sissoko. Depuis 2008, il dirige « L’orchestre après » : un collectif musical d’improvisation et de composition dans l’instant destiné à toute personne désireuse de faire de la musique. Depuis 2009, il dirige Le Grand Orchestre National Lunaire de La Louvière et La fanfare détournée, fanfare tournaisienne. Pour Mes Singeries vocales, il retrouve Bruno Coppens, après avoir composé la bande son de Ma Terre happy. Pierre Poucet est diplômé de l’IAD. Il a joué à l’Atelier Théâtre Jean Vilar dans des mises en scène d’Armand Delcampe (L’Habilleur et Peines d’amour perdues), de Cécile Van Snick (Amour, amour) ou de Patrice Kerbrat (La Veuve rusée et Le Sourire du diable). On a pu également le voir au Théâtre Royal du Parc de Bruxelles dans Robespierre écrit et mis en scène par Thierry Debroux ou encore dans Littoral de Wajdi Mouawad. Ancien jouteur de la Ligue d’Improvisation Belge, il a aussi diversifié les concepts de l’improvisation en participant notamment à la Foire aux Impros avec l’équipe du Théâtre Jardin Passion à Namur. Passionné de musique, il compose et joue à la fois de la trompette, des percussions, de la batterie et de la guitare. Il a signé plusieurs musiques de spectacles. Dans Mes Singeries vocales, il retrouve Eric De Staercke, qui l’avait déjà mis en scène dans L’Homme au miroir et Théâtre sans animaux. Depuis mars 2009, il est à l’affiche de So long. à bientôt !, portraits amusants de cow-boys. V. MORCEAUX CHOISIS
"Ma mère aime beaucoup ce que vous faites" Voilà c’qu’une jeunette M’a jeté en plein tête J’ai l’moral dans les chaussettes Une phrase pour scanner J’ai l’âge de mes artères J’suis quinqua J’suis véner Je suis quinquagénaire… 50 ans ? J’y crois pas ! J’suis même pas grand-papa ! Pas d’viagra, d’DHEA Et j’serais d’jà quinqua ? En plus, j’ai l’impression Y’a qu’6 mois environ Que j’ai mis pour de bon, L’acné sous le paillasson Comment trouver la faille pour qu’le temps, cette canaille Jette dans un soupirail Son sablier de travail ?
extrait de « Ma mère aime beaucoup ce que vous faites »
Est-ce vraiment la fin du pays ?!? Mais je rêve, j’ectasie, j’ai la tête anisée ! La belle gicle ? Le pays éclate, l’état pète ? Ca fout les shocottes-minute ! Quel pays !
Je joue au loup, au loup voyeur, Je loue chez vous ce goût d’ailleurs, Je nous vois partout louvoyer Je ne veux plus vous vouvoyer…
extrait de « L’amour que je vous voue nous noue plus que tout ! »
VI. LES FIGURES DE STYLE ET PROCÉDÉS MORPHO-SYNTAXIQUES
Qu’est-ce que c’est ?
C'est d'abord une manière de s'exprimer. Une figure de style modifie le langage ordinaire pour le rendre plus expressif, il en existe plusieurs catégories. Bruno Coppens utilise dans ses textes différents jeux de mots, figures de style ou procédés morpho-syntaxiques pour susciter le rire et la réflexion. Voici quelques exemples extraits du spectacle. Les procédés morpho-syntaxiques
Un mot-valise est un néologisme formé par la fusion d'au moins deux autres mots
existant dans la langue. Il s'agit le plus souvent d'une haplologie : une même syllabe constitue à la fois la fin d'un mot et le début d'un autre, et le procédé consiste alors à les accoler sans répéter cette partie commune.
- Mamangoissait ! Papaniquait ! Ils ne m’ont jamais rien dit, m’enfin, ça se voit dans leurs yeux….
Le calembour est un jeu de mots qui peut être fondé sur :
Ø La polysémie : un mot ayant plusieurs sens. - Faut pas se voiler la face, enfin…faut pas se voiler…
Ø L’homonymie/homophonie : s’écrivent/se prononcent de la même façon mais dont le sens diffère - Et comme c’est dans l’Asie qui est mineure, c’est pour ça que tu aimes les
Ø La paronymie/parophonie : des mots dont l’écriture/prononciation est très proche. Le paronomase consiste à rapprocher des paronymes au sein du même énoncé. - Qui vole un œuf, vole un bœuf - Quand on voit comment mon mime m’a mis mal et l’animosité des autres
Il existe un type particulier de paronomase, dans lequel le rapprochement n’est
qu’implicite car seul l’un des deux paronymes est cité. Celui qui est cité prend la place de l’autre, dans une phrase où c’est l’autre que l’on attend.
- La situation se Belgrade, ça sent l’Russie ! La Grenouille u’craigne qu’elle ne vomisse et, tout le désert, dégobille… - Il joue au maton formatant ses fils barbelés ! Vous confondez un père avec un pot d’fer d’homme ! Les figures par analogie
Elle établit un rapprochement entre deux termes (le comparé et le comparant) à
partir d'un élément qui leur est commun (la motivation, ou point de comparaison) et grâce à un outil grammatical (comme, pareil à, tel que, ressembler à, mieux que, autant que, .).
- Mais franchement un mime sans les mots, c’est comme un môme sans Mammy !
Elle établit une assimilation entre deux termes. Comparé et comparant sont
rapprochés sans terme de comparaison. On peut dire que c'est « une image ».
- J’en ai les bras coupés ! - A voir s’étaler les tablettes de chocolat alors que toi, la salle de muscu, tu n’y vas que toutes les années bicepstiles.- Le comédien est un oignon, un gros oignon.
Si la métaphore est développée par plusieurs termes, on parle de métaphore filée. On parle de clichés dans le cas de métaphores passées dans le langage courant (ex : « être à cheval sur les principes »).
Elle représente de façon imagée (par des éléments descriptifs ou narratifs) les
- La Belgique, c’est une tour de babel, enfin.une tour ! Disons plutôt une cahute, une cabane, une hutte, c’est ça une Babel hutte !
Elle représente une chose ou une idée sous les traits d'une personne. Exemples de Bruno Coppens : - La Flandre veut sa liberté, c’est clair et niet comme clarinette ! - La vie fut garce Les figures par substitution
Elle consiste à remplacer un mot par un autre mot qui entretient avec le premier
un rapport logique, pour désigner par exemple :
- Un contenu par son contenant :boire un verre (pour boire l'eau du verre) - Un objet par sa matière ou son origine :les cuivres pour les instruments en cuivre ; un bon Bourgogne pour le vin de Bourgogne - Un lieu pour la fonction qui y est attachée :il est candidat à l'Élysée - Un trait moral par un trait physique :une forte tête (un fort caractère) Bon nombre de métonymies sont entrées dans le langage courant
Elle consiste à remplacer un mot par une expression de sens équivalent qui évite
une répétition ou donne une explication.
- Le 7ème art pour le cinéma. - Le plancher des vaches pour le sol.
Les figures par opposition
Elle met en parallèle des mots qui désignent des réalités opposées. Elle est
souvent renforcée par un parallélisme de construction.
- À vaincre sans péril, on triomphe sans gloire. (Corneille) - Certains aiment la nuit comme d’autres vénèrent le jour.- Un noble s'il vit chez lui dans sa province, il vit libre mais sans appui ; s'il vit à la cour, il est protégé mais il est esclave. (La Bruyère)
Elle exprime une idée par son contraire dans une intention ironique. - C’est du propre !
Il énonce une idée contraire à l'opinion commune afin de surprendre, de choquer,
- Le pénible fardeau de n'avoir rien à faire. (Boileau)
- Voilà ce qu’est l’effet-mère : un goût d’éternité.
C’est la réunion surprenante, dans une même expression, de deux termes
Exemple - Cette obscure clarté qui tombe des étoiles. (Corneille)
Les figures par amplification ou par atténuation
Elle amplifie les termes d'un énoncé afin de mettre en valeur un objet ou une idée.
Elle procède donc de l'exagération et de l'emphase.
- Faut dire la France avec son nombril… de la taille du trou de la couche d’ozone !
Procédé d'amplification rythmique, elle consiste à répéter le(s) même(s) mot(s)
(en tête de phrases ou de vers successifs).
Il n'y a pas d'amour qui ne soit à douleurIl n'y a pas d'amour dont on ne soit meurtriIl n'y a pas d'amour dont on ne soit flétri (Aragon)
Elle crée une dramatisation en ordonnant les termes d'un énoncé selon une
- […] comme si j’étais un condamné, un sans-papier, un illégal ou un travailleur
Figure par laquelle on ajoute à l’expression de la pensée, pour en augmenter la
clarté ou l’énergie, des mots superflus. C'est aussi l'une des plus grandes fautes de langage (ex : monter en haut, descendre en bas, à deux reprises différentes, .).
- Je l’ai vu de mes propres yeux !
La tautologie est le vice logique consistant à présenter comme ayant un sens une
proposition dont le prédicat ne dit rien de plus que le thème.
- On est comme on est.- Si vous voulez vivre vieux, vivez longtemps. (Satie)
Il s'agit de la répétition d’un même son dans une phrase ou un texte. On parle
d'allitération pour les sons consonnes et d'assonance pour les sons voyelles. Exemple d’allitération de Bruno Coppens - Plein de pelures qu’il épluche en jouant une pièce de Shakespeare : « Comme il vous pèlera ! » En général, l’auteur est peu lu, le comédien pelé et le public peu là… Exemple d’assonance de Bruno Coppens- […] mais si c’est plus cher, c’est que t’es trop oignon…Et si t’es trop pognon, tu ne sais plus au gnon…au gnon de quoi tu joues ! Au nom de Dieu !
Il atténue l'expression d'une idée ou d'un sentiment, souvent pour en voiler le
- Troisième âge ou Senior (pour vieux)
VII. D’AUTRES ENCORE…
On parle de champ lexical pour désigner un ensemble théorique de mots
appartenant à une même catégorie syntaxique et liés par leur domaine de sens.
Par exemple, le champ lexical du mot arbre est l'ensemble des mots s'y
rapportant : forêt, clairière, branche, feuille, pin, chêne, scie, bûcheron…
- Alors moi, la p’tite crevette trop cuite, je m’suis fermée comme une huître,
Bolivia: la dinámica de las agendas en un juego sin ganadores El objeto de este Documento es dar un repaso de la última crisis del país del altiplano bajo la luz del agotamiento del sistema de democracia pactada. Para ello se hará primero una breve revisión D de las características principales de esa forma de democracia que dio al país casi dos décadas de estabilidad, para