Menopause

Groupe B1/8 Bourgeois Yann Brozicevic Stéphane Engerer Aurélien Ces trois figures représentent des variations du taux d’estradiol et d’estrone circulant, entraîner par trois protocoles différents d’adminis tration d’estrogène. Lors de l’utilisation d’estradiol (2 mg 1x par jour), on observe que durant les deux premiers jours le taux plasmatique en estradiol ne cesse d’augmenter jusqu'à environ 280 pg/ml au début du 3ème jour. Ce même jour, on remarque que l’on réalise deux mesures supplémentaires, on observe alors un pic plasmatique en estradiol à 700 pg/ml et ceux peut de temps après la prise d’estradiol. Puis après 24 heures le taux redescend jusqu’environ 320 pg/ml. La courbe de l’estrone suit quasiment les mêmes variations, mais elle est décalée vers les faibles concentrations plasmatiques (le pic atteignant une concentration de 150 pg/ml). L’utilisation de ce traitement par voie orale entraîne donc des variations importantes du taux plasmatique de ces deux substances. Lors de l’ingestion d’estrogènes équins conjugués (1.25 mg 1x par jour), on observe que les courbes évoluent de la même façon que pour l’estradiol, mais cette fois ci les concentrations plasmatiques pour l’estradiol ne dépassent pas les 200 pg/ml et 50 pg/ml pour l’estrone. On observe toujours une irrégularité des taux plasmatiques en fonction de l’heure de la journée. Lors de l’utilisation d’un dispositif transdermique, on remarque que les taux circulant en estradiol et en estrone sont relativement constants, dans la journée. De plus le taux reste presque constant durant 3 jours, sauf pour l’estradiol ou il commence à diminuer dés 48 heures. Donc en utilisant la voie transdermique, on observe que l’on arrive à avoir un taux relativement constant et bas (environ 80 pg/ml) d’estradiol et d’estrone. Cette étude permettra de démonter si l’une de ces trois voies d’administration est préférable aux autres pour le traitement de la ménopause (facilité de la prise en charge de la patiente, compliance, effet secondaire etc…). De plus le fait que ce test soit réalisé en double insu, montre qu’il s’agit sûrement d’une étude clinique. Les mécanismes régulateurs de la fonction génitale féminine mettent en jeu l'axe hypothalamo -hypophyso-ovarien. Les médiateurs intervenant sur cet axe sont nombreux : stéroïdes sexuels et peptides du liquide folliculaire (au niveau ovarien), gonadotrophines (au niveau hypophysaire), peptides hypothalamiques et neurotransmetteurs centraux. La ménopause est un phénomène physiologique caractérisé par la disparition des follicules primordiaux entraînant la chute des stéroïdes sexuels circulant : -progestérone dès la pré -ménopause (caractérisée par plusieurs mois à plusieurs années d'irrégularités menstruelles) -estrogènes par la s uite La chute des taux en hormone sexuelle aboutit à un dérèglement du retro-contrôle négatif au niveau de l’hypothalamus, entraînant une hyper-sécretion de FSH. L'origine exacte du dérèglement de la fonction ovulatoire aboutissant à la ménopause n'est pas encore exactement connue. La ménopause est un phénomène physiologique inéluctable qui touche la femme vers la cinquantaine. En présence d'une irrégularité des cycles menstruels, le dosage de la FSH, s'il est élevé, témoigne de l'entrée en période de pré-ménopause de la femme mais il n'est absolument pas prédictif de la chronologie des événements ultérieurs. La conséquence majeure de ces irrégularités demeure malgré tout l'insuffisance en progestérone, mise en évidence par des taux bas ou effondrés en deuxième partie du cycle. Ce taux effondré explique les symptômes rencontrés pendant cette période et fournit également les bases physiopathologiques nécessaires au traitement hormonal de la pré -ménopause. Parallèlement, on observe, assez souvent, un taux d'estradiol normal ou élevé et une LH normale ou peu augmentée. Après un an d'aménorrhée, l'association typique de gonadotrophines élevées (FSH et LH) et d'un estradiol bas témoigne d'une ménopause définitivement installée dans 90 % des cas. Les principaux effets de la diminution du taux d’hormones sexuelles sont : -des bouffées de chaleur ( dû à la forte secret ion de FSH) -sécheresse vulvo-vaginale -une augmentation du risque d’accident cardiovasculaire (car la concentration plasmatique de lipides augmentes, entraînant donc par la même une hausse des plaques d’athéromes) -une accélération du phénomène d’ostéoporose ( c’est à dire une diminution du stocke calcique osseux) Avec la ménopause peuvent apparaître certain trouble psychique tel que la nervosité, grande susceptibilité, dépression nerveuse, fatigue, tendance hypochondriaque etc… Cela entraînant des problèmes relationnels avec l’entourage, de plus chez la femme mariée d’un certain âge, déjà dépossédée de son rôle maternel, la perte de la fertilité d’accentuer son sentiment d’inutilité. D’autres femmes au contraire accueilleront ce changement avec soulagement, envisageant cet état comme la chance de prendre un nouveau départ. En France, l'âge moyen de survenue de la ménopause se situe dans une fourchette allant d’ environ 50 ans à 52 ans et n'a que très peu varié par rapport à l'espérance de vie de la femme. Ainsi dans les pays développés, les femmes devront passer un tiers de leur vie privée de leurs sécrétions hormonales ovariennes. On parle de "ménopause précoce" pour une survenue avant 40 ans et de "ménopause tardive" après 55 ans. Il existe différent paramètre qui influx ou non sur l’âge de survenue de la ménopause: -l'âge de la puberté -le nombre de grossesses -la prise de contraceptifs oraux -l'hérédité, la mère et la fille seront ménopausées relativement au même âge -l’état fibromateux retarde l'âge de survenue de la ménopause -le morphotype, le climat, les conditions socio-économiques -le tabagis me (l'avance de 18 mois en moyenne) Aujourd’hui, la prise en charge de la ménopause s’effectue essentiellement à l’aide de traitements hormono-substitutifs (THS), ces traitements constituent un bon moyen de prévention des troubles physiologiques liés à la ménopause. Ce THS se justifie chez l'ensemble des femmes ménopausées pour ses bénéfices démontrés à court terme (traitement des symptômes de la ménopause) et à long terme (prévention du risque coronarien et cardio-vasculaire athéromateux, prévention et traitement de l'ostéoporose, devant les arguments d'une diminution du risque relatif de la maladie d'Alzheimer et d'une diminution du risque de cancer du colon). Par contre, le THS s'oppose à l'effet préventif de la ménopause sur l'incidence du cancer du sein, il augmente légèrement le risque d'accident thromboembolique, et voir cancer de l’endomètre lorsque le THS est mal conduit ou si la patiente est sous estrogénothérapie exclusivement. Certaines patientes peuvent s'avérer être des cas difficiles pour plusieurs raisons : - le traitement est mal supporté ou entraîne des effets secondaires spotting (saignements), mastodynies , prise de poids etc… -la femme est trop âgée -existence d’une pathologie autre etc… Classiquement le THS constitue en une association d’estrogènes et de progestatifs, principalement pour éviter les problèmes au niveau endométrial. Les THS ne sont efficaces que si l’on arrive à obtenir des taux d’estradiol circulant stables et relativement bas (mais tout de fois nettement supérieur à ceux observer sans traitement). Pour ce qui est de la prise en charge de la pré-ménopause, seul un traitement par progestatif est indiqué. De nombreuses spécialités existent sur le marché et sous différentes voies d’administration : -Abufène (Béta-gluten) pour le traitement des bouffées de chaleur -Agréal (Véralipride) inhibiteur dopaminergique, qui utiliser à faible dose n’a pas d’action neuroleptique mais antigonadotrope. -Encyclopédie « Médecine pour vous », édition Hachette 1975 tome III P.1040 et 1041 -« Encyclopédie pratique du médicament » 12e édition, Vidal, p.663-668 -http://www.labodia.com/acoratapolymenopau.htm

Source: http://flanders.pharma.free.fr/Divers/menopause.pdf

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